Qui es-tu pour oser agir de la sorte?
Mais pour qui se prend-elle?
Elle ne manque pas d'air!
J'entends déjà les mille et une réactions que ce billet va faire fuser aux quatre coins de la blogosphère culinaire!
Sachez que, comme le disait si bien Jacqueline Maillan, bien peu me chaut!
Que réactions soient provoquées, je le consens aisément car je place avec ce billet une bombe au sein d'un essaim de turlututtes diverses et variées. Non seulement je la place mais j'en allume allègrement la mèche et je le revendique!
Cet allumage n'est que la réaction ouverte et mûrement pesée à l'attitude de certains personnages qui ont l'extrême honnêteté de supprimer des commentaires qui pourraient mettre en berne leur aura auprès de leurs lecteurs.
Sans doute aurait-il fallu que ce commentaire soit envoyé anonymement ou sous une fausse identité, pratique qui semble être plus dans les cordes de ce monsieur! Qu'il sache cependant que si ces pratiques lui sont coutumières, il n'en est pas de même pour moi.
Puisque la seule forme d'expression dont vous savez faire preuve est celle représentée par vos multiples profils, dont l' images' ci-dessous constitue une des multiples manifestations, je me permets donc de vous adresser ce petit pamphlet, à vous, dont le doigt brille de mille feux.
Je pense que vous vous reconnaîtrez et que vous serez fidèle à votre indécence coutumière en ne répondant pas à ces quelques vers.
à un bien petit monsieur....
Vous vous gargarisez de phrases imbéciles
Vos borborygmes sont plus puants que vos rots;
De grâce, épargnez-nous tous vos discours stériles
...Et pour votre cirque seul, gardez votre numéro!
Que vous fassiez un pet, on convoque la presse,
Et vous fanfaronnez avec un air poseur
Devant toutes ces minettes, qui le nez dans vos fesse,
Disent en minaudant qu'elles ont si bonne odeur!
Primitif arriéré, schizophrène d'un nouveau type,
QUi vous graissez la panse en toute impunité...
Quand donc y aura-t-il quelqu'un qui vous réfrène
Et mette un terme à vos stupidités.
Vous avez asservi l'amitié et le partage,
Vous enchaînez l'honneur et la liberté,
Vous êtes dangereux sans y paraître
Tant votre égo vous pète au cerveau!
Il est des coups de pieds à votre cul qui se perdent
J'ai des démangeaisons au bout de mes souliers!
Comme rime à ce dernier vers, je n'ai trouvé que le mot "MERDE"
Et je vous prie , Fat, de vouloir l'agréer...
Allez donc maintenant revêtir vos atours de pauvre victime et allez pleurer dans les girons de personnes qui vous accueilleront pour satisfaire leur propre vanité.